Kurokami
- The Animation
On
retrouve une énième série commerciale au possible qui fait le grand
écart entre des concepts totalement incompatibles, et pire, se prends
au sérieux.
Alors on
a des justiciers qui combattent des méchants pas beaux la nuit dans des
zones industrielles (que de clichés...), puis la journée, le héros,
un jeune con qui est passif à 300% se languit de son quotidien triste
et monotone avec sa tante qui essaye d'égayer sa vie ou de sa copine de
classe qui essayer de le secouer.
Un jour,
cet abruti voit sa morne existence basculer lorsqu'il croise la route
d'une jeune gonzesse, sorte de nana qui doit faire régner l'harmonie et
donc combattre les méchants qui eux, veulent faire pencher la balance
et s'approprier l'énergie vitale des gens ou un truc dans le genre...
Alors
les combats, c'est du projetage à 200 mètres contre le mur, le type se
relève et essuie une goutte de sang de sa bouche avant de
marmonne un truc comme quoi, la gonzesse ne lui arrive pas à la
cheville et bien sûr, il se fait savater la gueule comme un minable au
bout du second round.
L'héroïne
ayant la particularité de boxer ses ennemis, et donne toujours le coup
de grâce avec son super-upercut-de-la-mort, on se demande pourquoi elle
n'a l'a pas utilisé dès le début, on aurait évité 5 minutes de
combats ridicules et déjà-vus...
Sinon,
le reste du temps elle agit comme une pouffe, ne pense qu'à se goinfrer
la panse, et n'a aucune pudeur à montrer sa cicatrice au niveau du cœur/poitrine,
totalement sans gêne (idem quand elle sort de la douche).
Bien sûr,
la "tante" du héros se met à hurler/bondir quand la nana lui
dit qu'elle veut dormir avec la lopette, ou lui tenir le bras.
En
effet, au Japon, les hommes et les femmes n'ont aucune relation (même
d'amitié ou de se tenir la main) avant le mariage.
Ce qui
donne l'impression que ce sont les machines qui font les gosses tant ils
sont distant entre eux...
Plus
jamais ça!
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