Kamisama
no Inai Nichiyōbi
Le
synopsis était plus qu'intriguant : Dieu a abandonné l'humanité. Plus
personne ne peux mourir et ni enfanter. Et c'est dans ce monde tordu que
naît Ai, une jeune fille unique.
Ouais,
la série est un de ses ratages monumentaux, me rappelant le what the
fuckesque qu'était L' Odyssée de Kino (2003).
Alors non, l'héroïne ne parle pas à sa moto, mais on n'en n'est pas
loin.
Sur
le fond, les scénaristes n'ont jamais vu The
Walking Dead, et les réflexions sur le sens de la vie et de la
mort, sinon ils n'auraient jamais pondu pareille daube...
Sur
la forme, on a droit à de l'éternel série cul-cul la praline avec une
gamine de 8 huit qui porte un seifuku
à ras la moule, qui passe son temps à s'étonner du moindre
évènement banal, et ne s'étonne pas le moins du monde quand c'est au
contraire un truc anormal voire flippant (il lui paraît normal que les
enfants qui sont admis dans un pensionnant soient enlevés par des hommes
de mains de l'établissement scolaire en question, par exemple).
Les
réactions de l'héroïne sont incohérents en permanence, il n'y a aucune
réflexion sur le sens de la vie comme le sous-tendait le synopsis.
J'ai
décroché quand la gamine est arrivé dans l'école privée à la
japonaise où les professeurs tirent des balles dans les cheveux des
élèves quand ceux-ci font mine de désapprouver leurs ordres (ils
faudrait qu'ils ramènent des RPG s'ils viennent enseigner à Marseille!).
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