Highschool
of the Dead
HOTD
restera la curiosité de l'été 2010. Car si le genre de l'horreur, des
vampires, monstres et zombie ont déjà été traité de nombreuses fois
en série ou film animés, ici le réalisateur met en scène la série
comme les films du genre américains.
Moi qui
n'accroche jamais aux films/séries de zombies, je dois dire que le
format animé lui convient nettement mieux que le live.
Évidemment,
on ne vient pas ici pour y rechercher de profondes réflexions sur le
genre humain, seulement l'histoire d'une bande de lycéens qui essayent
de survivre à cet enfer.
Le réalisateur
oriente sa série ouvertement pour les fans du genre, avec comme
d'autres séries, les éternelles couches de ecchi
(pantsu et munemune en veux-tu, en voilà), le harem romance, l'otaku de
flingues, le héros qui se révèle par les évènements, etc.
Et
malgré la prévisibilité de l'histoire, les gros plans suggestifs sur
les poitrines des héroïnes et leur culottes, la série se laisse
agréablement regarder, divertissant ce qu'il faut le spectateur.
La
série se terminant en laissant une grande porte ouverte à une suite,
mais c'est le jeu du marketing nippon (les américains font pareils).
Une
série sympathique, qui change de l'ordinaire dans son sujet et dans sa
mise en scène.
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