Domestic
na Kanojo
Le pitch
n'est pas sans rappeler les jeux vidéos de drague japonais, et bien
évidemment en animé les pires clichés des harem romance, fanservice
et ecchi.
Si le
début de la série tranche un peu du genre, en proposant des
personnages non-lisses et un rythme volontariste, les épisodes suivants
sont lents, inintéressants et remplissant tant bien que mal les 20
minutes de programme.
Malgré
quelques bonnes idées, la série ne peut cacher sa faiblesse
scénaristique, l'absence de génie dans la mise en scène, le côté
déjà-vu permanent.
À cette
image, l'animation est de qualité tout juste correcte, propre mais
lisse au possible, avec des plans par moments bâclés et l'absence de
toute trouvaille visuelle, de tout travail de mise en scène dans les
plans de caméras, l'utilisation des décors, la luminosité.
Le
studio Diomeda n'arrive pas à la cheville de la saga Monogatari
pour citer un exemple de réussite.
La
bande-annonce suggérait une oeuvre audacieuse, qui ne tournait pas
autour du pot et assumait son propos, ce n'est clairement pas le cas.
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