Beck
Comme le surnomment ces détracteurs "Beurk" nous fait
découvrir à nous simples mortels, le monde si profond, si envoûtant
(j'en rajoutes un peu, je sais...) du rock garbago-hardo-californien.
Vous savez, ces types qui grattent de la guitare à vous rendre
sourd, et ces chanteurs qui hurlent dans le micro n'importe quoi. Bah,
voilà. comme le veux l'expression "De toute façon, la ville de Shibuya est de l'autre côté du tunnel sur la ligne
Inogashira. (???)
On a donc droit à des types 'cool' qui se tapent toutes les
minettes juste parce qu'ils sont dans un groupe de 'rock' (bien grand
mot), le héros, type moyen, amoureux d'une fille qui le connaît depuis
l'enfance mais qui le considère comme un simple ami, elle-même ayant
craqué pour un de ces guitariste,
Le héros va rentrer dans ce monde pour conclure avec son fantasme
féminin, mais découvrira bien plus, il deviendra une personne
meilleure, parce que même s'il est mauvais à l'école et qu'il n'a
qu'un ami, il deviendra pro et patati patata...
J'aime bien le changement de voix entre les doubleurs jap' et les
américains, le héros ayant d'ailleurs un accent californien quand il chante
dans la langue d'Eminem. On évitera pas non plus les "fuck"
à chaque dialogue en américain, c'est tellement caricatural que cela
en devient risible!
Une sorte de version masculine de Nana,
surfant sur l'attirance des nippons pour la culture occidentale et le
côté anarchiste et rebelle de cette musique.
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